Nul doute que Bach et Rachmaninov se retourneraient (de rire) dans leurs tombes s’ils tombaient sur les partitions de Pianistologie. Entendre un concertiste surdiplômé enchaîner les nocturnes avec Mike Brant puis les arias avec Mac Gyver, voilà qui relève d’un grand écart pour le moins saugrenu, n’est ce pas ?
Après plus de 300 représentations en solo, Pianistologie a grandi ! Simon Fache fait maintenant le tour de France des orchestres ! Les symphoniques , mais aussi (et surtout) les harmonies, partageant ainsi les scènes de nombreux musiciens parce que plus on est de fous, plus on rit
Mais pour le public, rassurez-vous : nul besoin de savoir lire le solfège ou de connaître les grands noms du classique pour apprécier Pianistologie. Si l’habit ne fait pas le moine, on sait désormais grâce à Simon Fache que l’on peut allègrement déconner en queue de pie